Lundi 21 novembre 1 21 /11 /Nov 15:25

Hier, Maîtresse et moi avions organisés une après midi coquine en compagnie d'un jeune garçon. Nous ne le connaissions pas, j'avais du le choisir la veille parmi d'autres inscrits sur un site libertin. C'était ma future queue à sucer, ma future salope à défoncer...

Nous avions tous rendez vous à 15 heures chez ma Maîtresse.

J'arrivai à l'heure. Ma Maîtresse avait une tenue d'infirmière ultra sexy et provocante, en dessous : son corset rouge et noir que je lui avait offert... Je bandais. J'avais le trac. Je ne tenais pas, trop impatient. Le corps de ma Maîtresse m'excitait. Je m'imaginais la défoncer. Mais j'avais le trac.

Oui, j'avais le trac.

J'avais déjà vu des hommes nus en sauna en compagnie de leur femme, j'avais déjà connu le triolisme mais jamais avec un partenaire masculin.

Le jeune homme que j'appellerai C. avait 21 ans, était bisexuel et très bien membré. Son corps était fin et saillant, son visage était beau et charismatique. Je m'étais dis en le choisissant que peut être je pourrai avoir de l'excitation à le voir, à le sentir, à le toucher...

Son côté coquin m'excitait, je voyais vraiment en lui un potentiel camarade de jeux.

Il arriva en retard, et je suggéra  à ma Maîtresse avec beaucoup de naturel qu'il devrait être sanctionné pour ça. Elle me répondit avec un énorme sourire que c'était une très bonne idée mais que je serait punie à sa place.

Une injustice ou une récompense?

 

Enfin une fois arrivé,tout se déroula très vite. En moins de 3 minutes, nous étions nus. Nous nous sommes déshabillés en même temps, agenouillés et à quatre pattes en même temps et plugés côte à côte.

C. portait un string léopard. J'avais mes bas auto-collants et un boxer en dentelle.

 

 

Nous avons reçus plusieurs fessés mémorables. Mes fesses, ses fesses : rouge vif...

Maîtresse demanda qui voulait sucer l'autre en premier. J'ai répondu que j'en avais envie...

Il était à genoux, la bite pas tout à fait raide mais bien tendue. Il écarta ses cuisses et je mis son gland dans ma bouche. Sa bite était large et me remplissait complètement la bouche. Surestimant mes capacités, je me suis dis que j'avais choisis une queue trop grosse pour une première fois.

Avoir une queue en bouche fut une sensation inconnue. Lorsque l'on suce un gode, on ne ressent pas la chaleur, la moiteur, le goût et l'odeur du sexe. Le pénis est vraiment quelque chose de particulier.

Je le pompais comme j'aurai aimé être pompé. Mais la largeur de cette bite m'empêchait de déployer tout mes talents.

A ce moment là, je me suis dis que j'étais vraiment une petite salope.

J'étais excitée mais je ne bandais pas en le regardant, en le touchant. La vue de ce corps d'homme m'excitait pas physiquement, et aujourd'hui malgré une première relation sexuelle avec une personne du même sexe, je ne me sens pas encore bi.

Je me demande si c'est normal.

Je ne sais pas.

 

 

J'ai bandé par intermittences, je vous avoue avoir été blessé dans mon orgueil.

Mais j'ai eu enfin l'honneur de pouvoir goûter au sexe et au cul de ma Maîtresse avec ma langue. C'était si bon. Mes doigts dans son vagin, pendant que ma langue s'attelait à titiller son clitoris...

Pendant ce temps, C. me pompait à quatre pattes comme une bonne pute.

Puis, C. à eu l'honneur de la baiser en levrette...

Je me suis mis assise à côté du lit. Je regardais son pénis s'enfoncer en Elle. J'ai été jalouse de ne pas être à sa place car je n'ai encore jamais eu le privilège de la prendre comme il l'a prise.

 Je l'ai de nouveau sucé pendant que ma Maîtresse me branlait.

Ma Maîtresse était terriblement excitée en me voyant pomper comme ca cette queue qui me défonçait la bouche. C. se mit debout sur le lit en position dominante, se branla sur mes lèvres. Je l'incitais à gicler comme si c'était la gueule de sa petite amie. Ma Maîtresse me demanda de tirer la langue, la bouche bien ouverte. Elle voulait me voir remplie de foutre.

Son éjaculation arriva. J'eus deux grosses giclées dans la bouche. Son sperme était liquide et acre. J'avalai vite au fur et à mesure que son sperme me remplissait.

Ma Maîtresse n'était pas entièrement satisfaite de moi. Elle m'avait demandé de tout avaler, mais du sperme avait coulé par terre...

Je devais maintenant m'avaler... Finalement C. se rhabilla assez vite et je n'ai pas eu le temps pour me faire jouir.

Nous avons un peu échangés nos impressions. Il avait l'air d'avoir apprécié cette après midi, je le comprends...

Je pense que C. a plus de facilité que moi à bander en présence d'un autre garçon; mais son cul semblait moins accueillant que le mien pour recevoir de larges plug.

J'ai adoré sucer, et avoir du foutre en bouche. Je me sentais vraiment garce. J'aimerai recommencer. Ma Maîtresse aussi, et veut que j'ai plusieurs queues à ma disposition pour moi la prochaine fois...

Et puis... et puis Elle nous demanda de partir : non. Je ferai tout pour partir un peu après. Même 2 minutes après...

 

Je ne voulais pas partir en même temps que C.

 

Pour moi, il avait forcement avoir moins de "valeur" que moi. Mon côté dominant qui ressort je pense.

Alors une fois parti, Maîtresse m'autorisa à m'alléger les couilles. Je jouis à quatre pattes dans un verre pour que je puisse encore avoir de la semence en bouche..

 J'éjaculai comme toujours une grosse quantité de sperme, un sperme bien blanc et bien onctueux dans le verre où j'avais bu du Coca-Cola... Je recueillis avec mon doigt les dernières gouttes.

Elle me demanda de me rhabiller, et d'écrire mes impression sur ce blog...

 

Anna, chienne assoiffée..

 

 

Par journalintimedunsoumis
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Jeudi 17 novembre 4 17 /11 /Nov 21:57

Il y a des instants que l'on ne peut oublier car ils contrastent complètement avec la réalité de votre quotidien.

Quelle hâte, quelle excitation en apprenant la nouvelle, en savourant cette demande; je ne tenais plus en place et malheur délicieux, je ne travaillais pas ce jour là...

Comment alors occuper mon esprit qui profitait sans cesse de mes failles de petite gourmande à imaginer des nouvelles possibilités de scénario?

Nue toute la journée et la queue raidie et trempée de liquide séminal, je soulagea mon appétit et ma quête de jouissance en jouant avec mes fesses.

Assise.

Sous la douche.

Allongée.

Debout. 

Encore assise, encore debout, et au bout de quelques heures, mon anus dilaté avalait mon nouveau plug gonflable comme un affamé..

 

L'heure, l'heure, l'heure qui approchait, et ma Maîtresse qui me rendais folle à avancer de 15, à finalement retarder de 30 celui qu'on avait initialement prévu.

 

[...]

Bien habillé en garçon dandy, j'avais prise dans mon sac mes petites tenues, mes jouets de salope.

 

Vite, vite, la hâte, l'empressement dans les jambes, le pas rapide et le coeur qui semble ralentir alors qu'il bat plus vite, vous savez comme lorsqu'un événement qui semble important compte se dérouler prochainement sous vos yeux.

Et puis, et puis ce numéro : le 17, le digicode :  ****  : ça restera codé. La grande porte : celle à droite de l'ascenseur : longer le couloir et choisir le bon paillasson...

Se croire dans l'hôtel Particulier de S. Gainsbourg et jouer sa seconde peau. Celle qui colle à la peau mais qu'on cache souvent par nécessité.

Un bonjour, un sourire. Un thé pour Mademoiselle. Et ce canapé pas encore déplié qui m'exhiba en partie, qui ne me laissait qu'une chemise et un noeud papillon en guise d'habits.

S'exhiber pas complètement nue est déstabilisant. C'est comme si le public venait se joindre à l'intime.

Alors je tripotais mon sexe, mes couilles, mon cul pendant que Maîtresse buvait son thé.

Et puis ce canapé qui se déplia et qui étala par la même occasion de nouvelles possibilités.

Non, ne plus imaginer et savourer : voila.

Voila, j'étais calmée : non je bandais encore, mon sexe palpitait et se retenait de cracher.

Une bougie, de l'huile et un massage avec la main; frôlant le divin, de l'encre, un loup et son chaperon : le rouge du noeud d'un string ficelle qui me sautait aux yeux sous mes caresses et puis ma queue enduite aussi d'huile qui jouait à la masseuse.

La voix de ma Maîtresse était si délicate, si sensuelle; c'est elle qui menait, qui guidait le jeu; qui me disait ensuite de me placer près d'elle pour la regarder se masturber; qui m'ordonnait de me branler, qui me susurrait de magnifiques obscénités, qui m'insultait, et qui s'auto qualifiait de salope en manque de bonnes bites, de sperme, qui m'infli[...] : "tète moi les seins, plus fort, je veux voir te vider les [...] : ce n'est pas de la censure ces pointillés sous crochets : c'est garder pour soi toute la saveur d'un moment déjà souvenir... Et plus qu'une séance de domination, ce fût un moment complice et d'échanges.

Pour finir, Bataille questionna par cette réflexion :  "la parole viendrait à bout de l'érotisme, où l'érotisme viendrait à bout de la parole?

Anna, chienne de Mademoiselle.

Par journalintimedunsoumis
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Dimanche 13 novembre 7 13 /11 /Nov 15:11
Par journalintimedunsoumis
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Dimanche 13 novembre 7 13 /11 /Nov 01:55

Hier, ma Maîtresse m'a demandé de m'exhiber en cam, et d'exciter comme l'aurai fait une bonne chienne des hommes sur un site échangiste.. Nouvelle étape pour moi qui n'ai jamais eu un seul rapport infinitésimal avec la gente masculine..

Comme tout homme porté un minimum sur le sexe et ses plaisirs, l'exhibition virtuelle  m'était familière, et il m'était déjà arrivé de nombreuses fois de me caresser devant des femmes qui elles même connectaient leurs webcam. C'était LA condition sine qua non car beaucoup d'hommes se font passer pour de délicieuses allumeuses afin de mater des hétéro..

Mais en bonne pute, ce soir je ne craignait rien de tout ceci alors j'ai joué mon role à fond.

Une musique lascive et poisseuse pour planter le décor : "Noah's Ark" de D. Lynch..

 

Le voile blanc se déroula sur tout le long de ma jambe.. Les attaches des sangles des escarpins firent le tour de ma cheville. Assise sur mon fauteuil, je posa mon Rosebud sur l'entrée de mon trou du cul qui l'avala sans demie mesure..cf photo>>   Picture-2.jpg

Arrivée sur le site, un tas de messages vicieux  sans même avoir branchée la caméra.

 

"Alors pétasse, ta maitresse va te faire devenir une pompeuse à foutre ??"

"belle croupe, mérite d'être baisée"

 

J'étais excitée, ma queue était engorgée et palpitait.. Trois hommes et un couple me regardaient; en m'insultant, et m'incitaient à cracher mon foutre. Ma Maitresse me demanda d'obéir à l'un des hommes qui voulait que je vide mes couilles sur mon tapis de souris.  

Je lui envoya plusieurs photos pour témoigner de ma démarche. 

 

Cela a plu à ma Maitresse autant qu'à moi.. Ma soumission se dote au fur et à mesure de plusieurs facettes, et ma compagne de luxure me fait franchir à chaque fois de nouvelles frontières. Merci à Elle. 

J'ai finis par laper mon jus comme une petite chienne qui boit sa gamelle devant le couple puis me suis déconnectée.

 

Demain je vois ma Maitresse, je vous raconterai. En attendant, je vais dormir plugée.. Bonne nuit à celles et ceux qui me découvrent et qui me lisent et n'hésitez pas à faire des commentaires.

Anna, accessoire sexuel et pute de luxe.

 

 

Par journalintimedunsoumis
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Samedi 12 novembre 6 12 /11 /Nov 02:17

Quel délice de sentir ma sève sur ma langue, ressentir chaque saccade inonder ma bouche, et déglutir lentement afin d'apprécier le goût acre et tiède de ce liquide si jouissif. Ma Maîtresse aime savoir que je l'avale par gourmandise. Elle aime par dessus tout me voir l'avaler avec des yeux brillants qui font que je suis sa petite pute. Et être chienne m'excite...

 

Je bois tout mes orgasmes selon le bon vouloir de ma Maîtresse. Soit dans un verre, sois en me léchant les doigts, soit en visant directement ma bouche avec un entonnoir... La dernière technique est un peu plus difficile à réaliser, il faut que ma queue se place au dessus de ma bouche. Recroquevillée tête en bas, les pieds contre le mur, je me masturbe jusqu'à l'orgasme avec l'entonnoir en bouche.

J'ai du une fois me faire jouir trois fois d'affilée dans la bouche, j'avais l'impression de réaliser mon premier Bukkake...

Je suis une chienne assoiffée de foutre et je l'assume, mais ma Maîtresse est encore plus coquine et perverse que moi...

A deux reprises, je me suis caressée aux toilettes du travail pour m'avaler après que ma Maîtresse me l'ai demandé.

Mon haleine sentait le sperme et je n'avais pas le droit de me brosser les dents.. Quelle humiliation.

J'ai imaginé un scénario que je vais vous confier. Ma Maîtresse m'a dit qu'un jour, elle me l'ordonnera de le faire.

 

"Après avoir congelée ma semence dans un bac à glaçons chaque soir durant une semaine, j'emporte avec moi le fameux bac remplit en entier dans une housse isotherme lors d'un rendez vous avec ma Maîtresse.

Nous nous retrouvons a un café. Nous discutons. Nous prenons un verre. Enfin je prend un verre tandis que ma Maîtresse prend un café. Une fois mon verre vide, ma Maîtresse me demande si j'ai les glaçons. Je réponds que oui.

J'imagine très bien ses yeux remplis de perversion à ce moment me dire : "mets les dans ton verre, attends que ça fonde et bois le à la paille comme si c'était du Coca-Cola".

 

Je fais toujours part de mes fantaisies et scénario. Mais jamais je n'aurai imaginée que celui ci lui plaise... Je sais que je serai morte de honte, morte de peurs.. Mais si ma Maîtresse me le demande, je sais également que je ne pourrai pas lui refuser...

Par journalintimedunsoumis
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